LA DHEA, UNE FONTAINE DE JOUVENCE

1.1 Définition

Isolée en 1931 par Butenandt dans les urines, la DHEA ou déhydroépiandrostérone, est une molécule de la famille des stéroïdes* (dérivée du cholestérol). Elle est produite par les glandes surrénales*. C’est une hormone stéroïdienne.

Elle circule dans notre corps principalement sous sa forme hydrosoluble : le sulfate de DHEA (DHEA-S).
1.2. L’action de la DHEA

Cette DHEA est une « pro-hormone* » c’est-à-dire, c’est le précurseur d’autres hormones. L’organisme l’utilise notamment pour fabriquer les hormones sexuelles : la testostérone, les œstrogènes et la progestérone.

Il a été prouvé que la présence de l’hormone DHEA dans notre corps a une action rajeunissante. Elle agit sur divers facteurs comme l’énergie, la masse musculaire ou la libido améliorant notre qualité de vie.
1.3. La perte de DHEA liée au vieillissement de l’organisme

La déhydroépiandrostérone est produite en croissante quantité de 7 à 25 ans. Au-delà de ce seuil, la production de DHEA dans l’organisme chute de plus ou moins 20% chaque année. Cette perte de DHEA avec l’âge est rapportée à l’enzyme desmolase et lyase, dont la synthèse, réduite à mesure que nous vieillissons, ne peut être réactivée ni remplacée.
De plus, cette diminution est accélérée par la prise de diurétiques, et la carence d’antioxydants (vitamine C, vitamine E, sélénium, magnésium, zinc). Mais surtout par le stress qui produit des corticostéroïdes qui, ayant une relation inverse à la production de DHEA, entraînent un immédiat déclin de celle-ci.

DHEA-hormone-vieillissement-menopause-anti-age-jeunesse

A 40 ans, les taux de DHEA dans l’organisme ont diminué d’un 50% et à 75 ans il y a eu un déclin de 80 à 90%.
Selon le docteur Whitaker, ce déclin s’accompagne de désordres organiques: un taux abaissé de DHEA représente le facteur commun à tous les phénomènes dégénératifs. Moins on a de DHEA dans l’organisme, plus notre corps vieillit. C’est pourquoi La DHEA a été nommée «Fontaine de Jouvence » d’après le mythe d’origine gréco-latine qui raconte que la fontaine de la nymphe Jouvence serait capable de rajeunir, et que celui qui s’y baignerait récupérerait sa jeunesse. Pourtant, cette DHEA est une fontaine épuisable.

2. LA DHEA SYNTHÉTIQUE, SOLUTION MIRACLE ?

2.1. La synthèse de la DHEA en laboratoire

Adolf Buternandt, biochimiste allemand et Prix Nobel en chimie, trouve en 1931 la façon de synthétiser la DHEA à partir de la plante Yan (Discorea Villosa), qui provient de l’Inde.

Cette plante contient de la diosgénine (stéroïde végétale). C’est à partir de ce composant que les chercheurs on réussi à modifier la molécule chimiquement et récréer la structure moléculaire de la DHEA. On a donc réussi à la synthétiser en laboratoire.

L’organisme humain ne dispose pas de l’enzyme permettant cette transformation c’est pourquoi l’introduction de cette plante Yan dans notre alimentation est inutile.

2.2. L’efficacité de l’hormone de synthèse

De nombreuses études on été réalisées en donnant à des individus du DHEA synthétique et des résultats démontrant l’effet rajeunissant d’élevés taux de DHEA dans notre organisme :

Le professeur Beaulieu a effectué une expérience avec 280 volontaires entre 60 et 69 ans. Pendant 12 mois, 140 ont prit 50 mg de DHEA par jour (en pilule) et les autres 140 ont pris du placebo. Les volontaires ayant pris de la DHEA présentaient principalement : une réhydratation cutanée, une production de sébum, moins de perte d’épaisseur de la peau et fortification du tissu osseux.

Mais d’autres nombreuses études ont donné de divers résultats satisfaisants sur l’efficacité de la prise de DHEA synthétique :

– Au département de psychiatrie à l’Université de New York, le Dr Kennet Bonnet a démontré que sur les personnes atteintes de troubles de mémoire, la DHEA a des propriétés exeptionnelles.

– Arthur Shwartz, un chercheur de l’Université de Temple à Philadelphia a montré que la DHEA bloquait une enzyme précise, l’empêchant de favoriser la division cellulaire cancéreuse et la prolifération des cellules graisseuses; l’hormone est en fait un agent fondamental anti-obésité.

– C’est en 1994 que le Dr Robet Atkins a prouvé que la DHEA contribue à convertir les calories en chaleur au lieu d’être stockées en graisse, favorisant ainsi l’élaboration de masse musculaire.

– Le Docteur Elisabeth Barret-Conner a réalisé une étude permettant d’observer une notable réduction des maladies cardio-vasculaires et autres maladies mortelles grâce à une prise journalière de DHEA ; cette hormone a donc de plus des propriétés antiathéroscléroseuses (protection cardio-vasculaire).

– Le docteur Diamond a aussi prouvé en 1997 que l’hormone a une action sur le métabolisme de la vitamine D, améliorant l’absorption du calcium et entraînant donc la diminution de la perte osseuse ; l’hormone est donc une prévention et traitement à l’ostéoporose.

– Une étude comparative à montré que l’hormone provoque une meilleure réponse au stress et meilleure qualité du sommeil.

– Une amélioration importante et rapide du niveau d’énergie, vitalité et libido (DHEA précurseur des hormones sexuelles), perceptible après quelques semaines seulement chez 82% des femmes et 67% des hommes (d’après une étude réalisée à l’Université de San Diego, Californie).

– Une augmentation de la résistance immunitaire (infections virales du rhume banal à l’herpès).

– Aussi a été montrée une baisse des niveaux de mauvais cholestérol (action antidiabétique).

Cette DHEA synthétique est donc aujourd’hui considérée comme un supplément alimentaire qui améliorerait la qualité de vie, autrement dit « rajeunirait » des personnes à partir de 35-40 ans minimum. Le dosage optimal, même s’il varie un peu selon l’individu, est de 50mg par jour pour les hommes et 25mg par jour pour les femmes. Ce supplément pris pendant un certain temps est capable de rétablir les taux de DHEA mesurés entre 25 et 30 ans, et donc d’améliorer la qualité de vie de celui qui la prend, contribuant à rajeunir dans les domaines cités le corps de l’individu. Pourtant, en France et en Espagne la DHEA n’est pas à la vente en pharmacie en tant qu’un simple supplément alimentaire, contrairement au cas des Etats-Unis où on peut en acheter librement.

2.3. Les risques de la pilule

La DHEA supplémentaire, étant d’origine végétale et donc naturelle, et étant présente dans notre organisme et utilisée naturellement par celui-ci, n’a occasionné pour l’instant quasiment aucun effet secondaire notable . Mais la prise de DHEA n’est pas recommandée pour certains patients…

Ces compléments, pris aux dosages recommandés, ne sont pas toxiques et sont en tous les cas beaucoup plus sûrs que la prise d’hormones ou de stéroïdes de synthèse.

En effet, la DHEA est responsable du fonctionnement dans notre organisme de certains facteurs tels la libido, la masse musculaire et la graisse de notre peau entre autres, qui contribuent à maintenir notre corps jeune. C’est pourquoi cette hormone est souvent appelée « fontaine de Jouvence ». Néanmoins, cette fontaine est épuisable : à partir de 25 ans ses taux diminuent et ces effets étant moins efficaces, notre corps commence à vieillir. Pour remplacer cette diminution, la DHEA a été synthétisée en laboratoire et il est possible aujourd’hui de prendre des comprimés qui nous rendraient les effets rajeunissants de l’hormone. Pourtant, ce médicament a levé une polémique et son utilisation n’est pas légale partout dans le monde.

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Tout savoir sur la DHEA

Autres noms : déshydroépiandrostérone, déhydroépiandrostérone, sulfate de DHEA, DHEA-S, déshydroisoandrostérone, déhydroisoandrostérone, prastérone, stéroïde anabolisant.

Indications
Efficacité probable
Soulager les symptômes du lupus et diminuer le recours aux corticostéroïdes.
Voir la légende des symboles
Efficacité possible
Traiter la dépression.
Efficacité incertaine
Prévenir l’ostéoporose chez les femmes. Améliorer l’humeur et le bien-être psychologique des personnes souffrant d’insuffisance surrénalienne. Contrer les effets du vieillissement. Soulager les symptômes de la ménopause. Prévenir les troubles cardiovasculaires et l’obésité.
Inefficace
Améliorer les performances physiques. Stimuler la fonction sexuelle. Améliorer les fonctions cognitives des personnes âgées.

La molécule de DHEA
La molécule de DHEA

Posologie de la DHEA
Lupus
Le dosage utilisé au cours des études cliniques est de 200 mg par jour.
Note. Le lupus relève d’un diagnostic et d’un suivi médical.

Dépression

Les données actuelles ne permettent pas de suggérer un dosage efficace en cas de dépression. Au cours des études cliniques, le dosage a varié de 90 mg à 500 mg par jour.
Attention. Les effets à long terme d’une supplémentation en DHEA supérieure à 50 mg par jour sont inconnus et pourraient causer des effets indésirables (voir Précautions).

Description de la DHEA

La déhydroépiandrostérone (DHEA) est une hormone stéroïdienne anabolisante que les glandes surrénales des humains et de quelques primates supérieurs produisent naturellement à partir du cholestérol. Dans l’organisme, on la retrouve sous la forme de sulfate de DHEA (S-DHEA), plus particulièrement dans le cerveau, les surrénales, les ovaires, les testicules, les tissus adipeux, la peau et le sang. Elle peut servir à l’organisme de matériau de départ pour la production d’autres hormones, telles que l’oestrogène ou la testostérone. Sa fonction spécifique, outre le fait de participer à la production d’autres hormones, n’est pas encore bien comprise.

La DHEA est produite en grande quantité par l’organisme juste avant la puberté. Sa production atteint un sommet dans la vingtaine, puis les taux corporels diminuent progressivement. À 60 ans, le corps produit à peine 15 % à 20 % de la DHEA qu’il produisait à 20 ans. Selon certains chercheurs, cette baisse contribuerait à déclencher certaines maladies, ce qui a valu à cette substance d’être qualifiée d’« hormone de jeunesse ».

Il n’existe pas de source alimentaire de DHEA. La croyance qui veut que la diosgénine (qu’on retrouve surtout dans l’igname sauvage, mais également dans d’autres plantes, notamment le soya, le trèfle rouge et le persil) soit un précurseur de la DHEA n’est pas fondée (voir la section Sur les tablettes). Donc, la consommation de ces plantes n’augmente pas la production de DHEA. Les suppléments de DHEA qu’on trouve aux États-Unis sont le résultat d’une hémisynthèse chimique réalisée en laboratoire à partir de phytoestrogènes provenant de l’igname sauvage ou du soya.

Carence en DHEA

Les personnes souffrant d’insuffisance surrénalienne ou qui ont subi l’ablation des surrénales ne produisent pas de DHEA puisque ces glandes en sont la source presque exclusive. À noter également : les glucocorticoïdes de synthèse (cortisone) peuvent empêcher la production naturelle de DHEA par les surrénales.

À partir de 30 ans, l’organisme se met à produire progressivement moins de DHEA. Actuellement, on ne peut dire s’il est possible, ou même souhaitable, de contrer ce phénomène naturel de manière sécuritaire.

Historique de la DHEA

Isolée en 1931, la DHEA commence à éveiller l’intérêt du public au cours des années 1980. Elle entre alors dans la composition de produits amaigrissants offerts en vente libre aux États-Unis. Vers la fin de cette décennie, la Food and Drug Administration (FDA) restreint son usage aux seuls médicaments d’ordonnance. Les experts qui croient aux vertus thérapeutiques de cette hormone pensent alors qu’il faut la considérer comme une substance expérimentale et qu’elle ne devrait pas être offerte en vente libre. Toutefois, en 1994, la FDA autorise de nouveau la vente libre de la DHEA, qui est désormais commercialisée comme supplément alimentaire. Au Canada, cependant, sa vente est interdite, sauf sur ordonnance, en préparation magistrale délivrée par un pharmacien spécialisé.

Dans la majorité des pays d’Europe, la DHEA a un statut de médicament sans avoir fait l’objet d’une autorisation officielle de mise en marché, une procédure coûteuse qu’aucune compagnie pharmaceutique n’a entamée. En effet, comme il s’agit d’une hormone naturelle, elle n’est pas brevetable et ne présente donc guère d’intérêt pour les investisseurs.

Par ailleurs, la consommation de DHEA par les athlètes est interdite par le Code mondial antidopage. Cependant, dans les dernières années, quelques athlètes d’élite ont fait les manchettes après des tests positifs (cyclisme, rugby, soccer, tennis et athlétisme).

Recherches sur la DHEA

Le taux de DHEA dans l’organisme, en plus de diminuer tout au long de la vie, peut aussi varier beaucoup d’un individu à l’autre, de même que suivant le sexe des sujets. Ainsi, dans certaines études, la DHEA a eu un effet plus marqué sur les femmes que sur les hommes. La supplémentation en DHEA semble efficace dans certaines situations particulières seulement. C’est notamment le cas quand les sujets présentent des taux très bas de cette hormone, causés, par exemple, par une insuffisance surrénalienne ou un traitement prolongé aux corticostéroïdes. Dans les autres cas, malgré de nombreuses études, la DHEA n’a généralement pas fait ses preuves.

Efficacité probable Lupus érythémateux. Au cours de 7 essais à double insu avec placebo (842 femmes en tout) d’une durée de 6 mois à 12 mois, la prise de 200 mg de DHEA par jour a entraîné une modeste amélioration de la qualité de vie des participantes. En revanche, l’effet positif de la DHEA sur la fréquence des crises et la progression du lupus reste incertain. Notez qu’au cours d’un essai récent, une dose de 200 mg par jour durant 1 an n’a pas été plus efficace qu’un placebo pour réduire la fatigue et améliorer le bien-être physique et mental de femmes dont le lupus était en rémission.

Par ailleurs, cette maladie est généralement traitée par des corticostéroïdes, lesquels provoquent une diminution de la densité osseuse. Des essais cliniques préliminaires et des observations de cas ont été publiés à ce sujet. Les résultats indiquent qu’une dose de 200 mg de DHEA ou de prastérone (la forme synthétique de DHEA) par jour durant 7 à 12 mois permettrait de diminuer le dosage de corticostéroïdes, ce qui pourrait atténuer les risques d’ostéoporose attribuables à leur emploi.

Des chercheurs ont vérifié l’efficacité de la DHEA auprès de femmes atteintes du syndrome de Gougerot-Sjögren, une autre maladie auto-immune. La DHEA, à raison de 50 mg par jour, n’a pas réduit la fatigue des participantes par rapport à un placebo.

Efficacité possible Dépression. Au cours d’une étude épidémiologique portant sur environ 700 femmes ménopausées, on a observé une corrélation entre la dépression et un faible taux de DHEA dans l’organisme10. Des chercheurs polonais ont également constaté une association entre de faibles taux de DHEA et une dépression grave chez des hommes souffrant de maladies du coeur11. De plus, un essai sur 34 patients indique qu’il existe un lien entre une élévation des taux de DHEA dans l’organisme et une atténuation des symptômes dépressifs.

En ce qui concerne la supplémentation, quelques essais préliminaires indiquent que la prise de 90 mg à 500 mg par jour de DHEA peut diminuer les symptômes dépressifs des patients souffrant de dépression mineure et majeure13-15, de schizophrénie16 et de sida17. Au cours d’un essai de plus grande envergure (145 sujets), on a obtenu de bons résultats, à raison de 100 mg à 400 mg de DHEA par jour, auprès de personnes sidéennes souffrant de dépression.

Efficacité incertaine Ostéoporose. Les essais menés jusqu’en 2006 ont donné des résultats mitigés. Deux études plus récentes et de plus longue durée (1 an et 2 ans) indiquent que 50 mg de DHEA par jour peut augmenter la densité osseuse de la colonne vertébrale lombaire chez les femmes, mais pas chez les hommes. L’effet est plus marqué lorsque les participantes prennent aussi de la vitamine D et du calcium. La durée du traitement semble importante, car, au cours d’un essai récent d’une durée de 6 mois seulement, la DHEA n’a pas eu d’effet sur la densité osseuse de femmes âgées et frêles.

Efficacité incertaine Insuffisance surrénalienne. Chez les personnes souffrant de cette maladie, le corps ne produit pas de DHEA. La supplémentation semblerait donc un traitement logique, mais les résultats cliniques sont contradictoires. Selon les résultats d’une synthèse systématique portant sur 10 essais avec placebo, la prise de DHEA aurait des effets très modestes. Elle a un léger effet favorable sur la dépression, mais pas sur la vie sexuelle et l’anxiété des personnes atteintes. Les auteures d’une autre synthèse, qui se sont penchées sur les effets de la DHEA sur le bien-être et la vie sexuelle des femmes ont un avis différent. Elles ont conclu que les femmes atteintes d’insuffisance surrénalienne étaient les plus susceptibles de répondre favorablement, sur le plan du bien-être et de la sexualité, à un traitement à base de DHEA.

Efficacité incertaine Vieillissement. Une étude a fait grimper en flèche les ventes de DHEA. Elle était dirigée par le Dr Étienne-Émile Baulieu et a été publiée en 200022. Ses résultats encourageants et ceux de quelques autres essais ont soulevé une vague d’espoir en faisant miroiter une mythique fontaine de Jouvence. Cependant, dans l’ensemble, les effets se sont avérés, en réalité, plutôt modestes ou négligeables au chapitre de la mémoire, du risque cardiovasculaire, de l’humeur et du bien-être chez les personnes âgées.

Efficacité incertaine Ménopause. Les auteures d’une synthèse publiée en 2010 soulignent que la DHEA n’a pas fait ses preuves pour soulager les symptômes de la ménopause. D’une part, plusieurs essais ont été de courte durée ou ne comptaient pas beaucoup de patientes, ce qui expliquerait leurs résultats contradictoires. D’autre part, les études les plus récentes n’ont pas été concluantes. Seule la DHEA appliquée par voie vaginale pourrait soulager les femmes souffrant d’atrophie vaginale.

Efficacité incertaine Protection cardiovasculaire. Selon une synthèse publiée en 2004, les données ne permettent pas de conclure que la DHEA réduit ou accroît le risque de maladie cardiovasculaire. D’une part, il n’y a pas de lien clair entre un faible taux de DHEA dans l’organisme et le risque de maladie cardiovasculaire. D’autre part, la prise de DHEA a donné des résultats contradictoires au cours des essais sur le taux de cholestérol : soit le traitement n’a pas eu d’effet, soit la baisse a été modeste. De plus, les essais cliniques publiés depuis n’ont pas été concluants. Ainsi, la DHEA (75mg/jour pendant 2 ans) ne modifie pas les taux de « bon » et « mauvais » cholestérol (respectivement appelés HDL et LDL) chez les hommes âgés ayant de faibles taux de DHEA, et semble même abaisser les taux de bon cholestérol chez les femmes âgées.

Efficacité incertaine Obésité et gras abdominal. Plusieurs études d’observation ont établi un lien entre un taux élevé de DHEA dans l’organisme et une obésité moindre, notamment à l’abdomen. On a donc vérifié l’effet d’une supplémentation en DHEA sur le taux et la distribution du gras corporel. Selon l’auteur d’une synthèse publiée en 2004, sur les 14 études cliniques publiées à ce sujet, seulement 4 ont donné des résultats concluants. Les résultats des essais publiés depuis ont été mitigés.

Inefficace Performances physiques. Selon les auteurs d’une synthèse publiée en 2010, l’efficacité de la DHEA pour améliorer les performances physiques relève plus du mythe que de la réalité. Les études à court terme effectuées sur des athlètes masculins prenant de hautes doses ont donné des résultats non concluants. Les essais à plus long terme menés sur des personnes âgées prenant 50 mg par jour ont entraîné, au mieux, de négligeables améliorations.

Inefficace Fonction sexuelle. Selon 2 synthèses publiées en 2006 et en 2007, l’utilisation de la DHEA pour améliorer la fonction sexuelle chez les femmes en bonne santé demeure, pour l’instant, peu convaincante. Un essai publié depuis n’a pas non plus été concluant.

Chez les hommes souffrant ou non de dysfonction sexuelle, les données sur la DHEA ne sont pas convaincantes non plus, les essais ayant donné des résultats contradictoires.

Inefficace Fonctions cognitives chez les personnes âgées. On a cru, pendant un temps, qu’en administrant de la DHEA aux personnes âgées, on pouvait améliorer leurs fonctions cognitives et leur bien-être psychique. Toutefois, quelques études indiquent que le déclin normal de la production de DHEA par l’organisme vieillissant n’a aucune incidence sur les fonctions cognitives. De plus, l’ensemble des études cliniques pointe vers l’absence d’effet positif d’une supplémentation en DHEA.

Par ailleurs, les résultats d’un essai clinique publié en 2003 et portant sur le potentiel de la DHEA dans le traitement de la maladie d’Alzheimer indiquent que l’hormone a été sans effet à cet égard57.

Précautions

Attention
Les effets à long terme d’une supplémentation en DHEA supérieure à 50 mg par jour sont inconnus, car les études cliniques sur des doses supérieures ont duré 1 an ou moins. À la lumière des connaissances actuelles, il serait préférable de n’entreprendre un traitement que sur les conseils d’un médecin qui devrait vérifier régulièrement les taux sanguins de cholestérol et de stéroïdes, la tolérance au glucose, et la possible apparition de cellules cancéreuses.
On a comparé le taux sanguin de DHEA de femmes atteintes de cancer du sein et de femmes non atteintes : Les résultats indiquent qu’un taux élevé est associé à un risque de cancer du sein accru, tant chez les femmes préménopausées que chez celles qui sont en post-ménopause.

Contre-indications

Grossesse ou allaitement.
Puisqu’il s’agit d’une hormone qui peut se transformer en oestrogène ou en testostérone, les personnes à risque de cancer hormonodépendant (cancer du sein, de l’utérus, des ovaires, de la prostate) devraient s’abstenir. Cependant, plusieurs essais in vitro et sur des animaux pointent, au contraire, vers de possibles propriétés anticancéreuses de la DHEA.
Insuffisance hépatique ou rénale.

Effets indésirables

Généralement bénins à des doses quotidiennes de 50 mg ou moins.
À des doses de 200 mg par jour, la prise de DHEA peut causer de l’acné et l’hirsutisme.
Au cours de 2 essais auprès de femmes souffrant de lupus, la prise de DHEA a fait baisser le taux de « bon » cholestérol (HDL) des participantes3,4. Un effet semblable a été constaté au cours d’un essai auprès de femmes âgées ayant pris 50 mg de DHEA durant 2 ans.
La DHEA peut, plus rarement, entraîner un changement de la voix chez les femmes, une chute des cheveux, une résistance à l’insuline, des douleurs abdominales, des troubles hépatiques, de l’hypertension artérielle, de la congestion nasale, de la fatigue, de l’insomnie (hautes doses) et des maux de tête.
La DHEA peut accroître les crises de manie et d’irritabilité chez les personnes souffrant de troubles de l’humeur (par exemple de troubles bipolaires).

Interactions

Avec des plantes ou des suppléments
Aucune connue.
Avec des médicaments
La DHEA peut interagir avec des médicaments qui bloquent les effets de l’oestrogène (tamoxifène, létrozole, fulvestrant, exémestane, anastrozole).
La prise d’insuline pourrait diminuer l’efficacité de la DHEA.
Les corticostéroïdes (dexaméthasone, hydrocortisone, méthylprednisolone, prednisone) peuvent empêcher ou réduire la production naturelle de DHEA par l’organisme.

Sur les tablettes

Rappelons que la vente libre de DHEA est interdite au Canada, sauf sur ordonnance en préparation magistrale. En septembre 2008, Santé Canada a émis une mise en garde au sujet de produits vendus sans ordonnance contenant des hormones, dont de la DHEA. En 2010, des produits vendus par 4 magasins situés en Colombie-Britannique ont été retirés du marché : 5 d’entre eux étaient des suppléments de DHEA.
On trouve dans le commerce des produits présentés comme de la DHEA « naturelle ». Il s’agit généralement d’extraits d’igname, de soya ou de trèfle rouge, qui contiennent de la diosgénine, un phytoestrogène. Rien ne permet de croire pour l’instant que l’organisme puisse transformer cette diosgénine en DHEA. Ce processus exige une série de synthèses chimiques qu’on ne peut reproduire qu’en laboratoire. Il n’existe donc pas de source « naturelle » de DHEA. Seul l’organisme en produit naturellement, par les glandes des surrénales, lorsqu’il est en âge de le faire.

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Igname sauvage avec le quel on produit la DHEA

Noms communs : igname sauvage, igname velue, dioscorée.
Noms botaniques : Dioscorea villosa, D. mexicana, D. hirticaulis, D spiculiflora, D. floribunda, D. opposita, et autres espèces de la famille des dioscoréacées.
Nom anglais : Wild Yam.

Parties utilisées : racine et rhizome séchés.
Habitat et origine : plante vivace rampante qu’on trouve à l’état sauvage, surtout dans le centre de l’Amérique du Nord et au Mexique. Diverses espèces du genre Dioscorea (il en existe 600 en tout!) sont également présentes en Amérique du Sud et en Asie. Plusieurs variétés sont cultivées pour leurs tubercules comestibles. Les patates douces qu’on trouve dans le commerce (yam en anglais) dans les pays occidentaux appartiennent à la même famille botanique.
Posologie de l’igname sauvage

Bien qu’il existe dans le commerce des capsules, des comprimés, des teintures et des crèmes à base d’igname sauvage, aucun résultat d’essai clinique ne justifie les usages suggérés par les fabricants de ces produits (voir la section Recherches).

igname sauvage
igname sauvage

Historique de l’igname sauvage

Au Mexique, l’usage traditionnel de l’igname (Dioscorea mexicana) date du temps des Aztèques. On l’utilisait notamment pour le traitement des rhumatismes et comme analgésique local. En Amérique centrale, on s’en servait contre les troubles menstruels et ovariens, ainsi que pour soulager les nausées de la grossesse, faciliter l’accouchement et prévenir les fausses couches. Au Belize et en Chine, on se sert de l’igname pour soigner les problèmes urinaires. Différentes traditions attribuent à la plante des propriétés antispasmodiques, ainsi qu’un effet stimulant sur la production de bile.

Si certains de ces usages persistent au Mexique ainsi qu’en Amérique centrale et du Sud, ce n’est pas le cas dans les traditions médicinales européennes : l’ignamesauvage y est actuellement très peu mentionnée. Ses usages médicinaux n’ont d’ailleurs jamais fait l’objet d’une reconnaissance officielle par les autorités modernes qui se prononcent sur l’herboristerie (la Commission E ou l’ESCOP, par exemple).

En fait, on connaît plutôt l’igname à cause de son utilisation « moderne ». En effet, dans les années 1940, la plante a suscité beaucoup d’intérêt lorsque Russell Marker a découvert qu’elle était riche en diosgénine et en dioscine. En laboratoire, ces composés pouvaient assez facilement être transformés en DHEA, en progestérone et en oestrogène, des hormones qui, à l’époque, étaient très difficiles à produire. Cette découverte a pavé la voie à la fabrication industrielle de la pilule contraceptive.

Depuis le début des années 1990, des suppléments et des crèmes à base d’ignamesauvage (aussi appelée igname velue) sont apparus sur le marché et la confusion règne. En effet, les produits à base d’igname fabriqués de façon naturelle ne peuvent avoir d’effets hormonaux bénéfiques (voir la section Recherches). De plus, certaines crèmes à base d’igname commercialisées aux États-Unis sont présentées par leurs fabricants comme une source naturelle de progestérone, ce qui n’est pas le cas, puisqu’elles sont issues d’une hémisynthèse de la plante faite en laboratoire.

Recherches sur l’igname sauvage

Inefficace Ménopause. Les fabricants de produits à base d’igname sauvage laissent entendre que la plante est une source de progestérone et de DHEA (déhydroépiandrostérone, une hormone stéroïdienne) et qu’elle pourrait donc être utile pour soulager les symptômes de la ménopause. Cependant, les experts en phytothérapie sont loin de cautionner une telle affirmation. S’il est vrai que l’igname a servi de point de départ pour la production industrielle d’hormones par un procédé de synthèse, la plante ne peut pas se transformer en progestérone ou en DHEA dans l’organisme humain.

La seule étude dont on dispose est une étude préliminaire croisée non concluante menée auprès de 23 femmes. Les participantes ont employé, durant 3 mois, une crème à usage topique à base d’extrait d’igname sauvage, dont la teneur en diosgénine était normalisée. Ensuite, elles ont pris, durant 3 autres mois, une crème placebo. On n’a pas relevé de différence notable entre les effets de ces 2 substances ni sur les symptômes de ménopause, ni sur les taux hormonaux.

Divers. Bien des allégations sont faites au sujet des effets de l’igname sauvage : traitement de l’ostéoporose, stimulation de la fonction sexuelle, augmentation du volume des seins. Toutefois, aucune donnée scientifique sérieuse ne justifie ces usages. Bien que plusieurs études sur les animaux indiquent que l’igname peut faire baisser les taux de lipides sanguins, les données sur les humains sont très anecdotiques2.

L’igname comme aliment

Les résultats d’un essai préliminaire mené en 2005 auprès de 22 Taiwanaises ménopausées indiquent que la consommation quotidienne de 390 g de racines d’une igname cultivée (Dioscorea alata dans ce cas – grande igname ou igname ailée) a sensiblement amélioré leur taux d’hormones sexuelles et de lipides sanguins. Ce régime alimentaire procurerait également des quantités appréciables d’antioxydants. Selon les résultats du même essai, la patate douce, une autre espèce d’igname cultivée, ne produirait pas de tels effets3.

Précautions
Attention
Les études toxicologiques sont insuffisantes pour établir l’innocuité des extraits d’igname en cas de grossesse ou d’allaitement.
Contre-indications
Aucune connue.
Interactions
Avec des plantes ou des suppléments
Aucune connue.
Avec des médicaments
Aucune connue. Au cours d’essais sur des animaux, l’ignamesauvage a fait baisser les taux de lipides sanguins. Cet effet pourrait donc théoriquement s’ajouter à ceux de médicaments utilisés pour faire baisser les taux de cholestérol et de triglycérides sanguins.
Sur les tablettes

On a accusé des fabricants peu scrupuleux d’avoir ajouté de la progestérone à leurs crèmes « naturelles » à base d’igname. On ignore si ces allégations ont un fondement. Selon la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada, « les crèmes contenant de l’igname velue n’ont aucun effet hormonal, à moins que de l’oestrogène ou de la progestérone synthétique n’y ait été ajouté. Les plantes ne produisent pas de cholestérol, qui est nécessaire à la création d’hormones stéroïdes »4.
À noter que des crèmes à base d’igname commercialisées aux États-Unis sont en fait issues d’une hémisynthèse de la plante faite en laboratoire : leurs fabricants les présentent comme une source naturelle de progestérone, ce qui n’est pas le cas. Aux États-Unis, de tels produits sont offerts en vente libre parce qu’on les considère comme des suppléments alimentaires. Au Canada, la progestérone est vendue sur ordonnance médicale, quelle que soit sa source.

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DHEA : Laquelle et ou acheter ?

En France ….
La DHEA est élaborée par les pharmaciens qui reçoivent la matière première. Ils ont l’autorisation ensuite de la vendre après avoir transformée sous forme de  » préparation magistrale  » de véritable capsules de DHEA : certaines pharmacies importent la matière première nécessaire à sa préparation, la qualité du produit finit repose alors sur la bonne foi du fournisseur…

La DHEA est conçue en laboratoire à partir d’une saponine d’origine végétale nommée Diosgénine. Le corps humain ne dispose pas des enzymes nécessaires pour effectuer cette conversion. Les allégations portant sur des produits stimulant « naturellement » la production de DHEA sont donc dénuées de tout fondement.
« Il ne se passe pas une semaine sans que l’on me demande de la DHEA, fantasmée comme un élixir de jeunesse éternelle », raconte ce pharmacien parisien installé en centre-ville. « La préoccupation anti-âge est forte dès 40 ans, et même parfois 30 ans « , confirme ce médecin lyonnais, qui reconnaît prescrire des hormones à ses patients les plus déterminés, déjà consommateurs réguliers d’oméga 3 et d’antioxydants variés.
Cependant si vous vous adressez à des sites qui diffusent les produits de laboratoires connus, vous pouvez vous assurez de la qualité.
Attention tout de même, le nom du principe actif, le dosage, la date, le numéro du lot doivent apparaître sur chaque produit.
Par ailleurs, prenez garde aux publicités proposant de la DHEA à prix exhorbitant, alors que vous pouvez vous en procurer à des prix tout à fait raisonnables sur les sites Web ayant une bonne notoriété outre-Atlantique.
Demandez toujours les certificats d’analyse.

DHEA en gélules
DHEA en gélules

Comment et ou peut-on se procurer de la DHEA ?

Seulement sur prescription médicale et auprès de votre pharmacien dans le cadre d’une préparation magistrale (élaborée artisanalement dans les officines à partir de poudre de DHEA tirée de la plante yam). En dehors de celles proposées à la vente via internet mais pour lesquelles des doutes subsistent quand à sa qualité, n’espérez pas trouver en vente libre cette hormone qui n’est pas anodine, elle est uniquement vendue sous ordonnance et sous la responsabilité du médecin prescripteur. Avant de vous prescrire cette préparation, le médecin devra demander un bilan hormonal pour connaître l’état de vos « carences ». Des antécédents de cancer du sein, de l’utérus ou de la prostate sont des contre-indications absolues.
Les plus audacieux essaieront de commander via Internet. Mais, quand le colis ne repart pas d’où il vient, vous risquez de n’obtenir que de la poudre de perlimpinpin. Les résultats des tests pratiqués par le Pr. Baulieu sur des boîtes en provenance des Etats-Unis ont mis en évidence des écarts entre la quantité annoncée et la quantité réellement présente dans les comprimés. La plus grande méfiance vis-à-vis de ces produits est donc recommandée…

Combien coûte le traitement en DHEA ?

On peut donner une fourchette de prix pour un traitement mensuel de 25 ou 50 mg/jour entre 9,15 et 45 €uros. Le bilan hormonal préalable à toute prescription est remboursé par la Sécurité Sociale. Mais les prix sont libres et connaissent des variations selon les officines.

Que penser des crèmes cosmétiques « à base de DHEA » ?

Pour l’instant, c’est dans le domaine du vieillissement cutané que la DHEA semble avoir trouvé ses premières applications en France. L’étude DHEâge avait révélé que l’hormone améliore les qualités de la peau en augmentant son hydratation. Cette constatation a débouché sur l’achat par L’Oréal d’un brevet d’application à l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, responsable de l’étude DHEâge**. La firme désire utiliser la DHEA pour produire des cosmétiques. Mais les Laboratoires Mayolis Spindler ont pris les devants. Depuis quelques mois, ils proposent en effet aux femmes un nouveau soin de jour. Ce produit était semble-t-il déjà « dans les cartons » de la firme depuis 2 ans. Mais le bruit fait autour de la DHEA en a accéléré la commercialisation.
Ces crèmes n’ont été soumises à aucune étude permettant de certifier une quelconque action.

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La prise de DHEA peut-elle poser un risque pour la santé ?

Dans l’utilisation d’hormones, tout est question de savoir de quelle supplémentation spécifique vous pouvez avoir besoin et de respecter les doses. LES HORMONES A DOSAGE ÉQUILIBRÉ NE PRÉSENTENT PAS DE RISQUE POUR LA SANTÉ.

La DHEA étant une hormone sécrétée naturellement, aucun effet secondaire notable n’a été remarqué. Toutefois les doses supérieures à 500 mg par jour sont déconseillées. Pourtant, les hormones ont mauvaise presse. L’engouement actuel pour la DHEA n’empêche pas que de nombreuses personnes se représentent encore le recours aux hormones comme « dangereux ». A quoi cela tient-il ?

Tout d’abord à l’abus d’hormones dans l’industrie agroalimentaire ainsi qu’à l’usage, avéré dangereux, d’hormones prélevées sur des cadavres humains pour traiter les problèmes de croissance (pratique aujourd’hui totalement abolie). Ensuite à la persistance du mythe selon lequel l’usage d’hormones provoquerait le cancer. Celui-ci repose sur la mécompréhension de certaines données scientifiques. Voici les faits :

La somatomédine C (qui est l’agent d’exécution pour l’hormone de croissance) prolonge en laboratoire la durée de vie des cellules malignes aussi bien que des cellules immunitaires. Mais cette même somatomédine C renforce, dans l’organisme, l’activité des cellules immunitaires tueuses des cellules cancéreuses.

L’oestradiol utilisé seul augmente effectivement le risque de cancer de l’utérus. Cet effet indirect est facilement contrebalancé par l’utilisation complémentaire d’une dose suffisante de progestérone. Il semble enfin que le cancer de la prostate, lorsqu’il est déclaré, soit accentué par l’imprégnation d’hormones mâles. Néanmoins aucune étude scientifique épidémiologique ne prouve l’existence d’un lien entre androgènes (comme la testostérone) et l’apparition elle-même du cancer de la prostate. Bien au contraire, un taux normal d’androgènes semble aider à en prévenir l’apparition.

Comment s’expliquent les réticences du corps médical à l’égard des hormones et de la DHEA ?

Laissons la parôle à deux des spécialistes internationaux les plus reconnus dans le domaine des hormones (Dr Hertogue et Nabet, « DHEA, l’hormone du mieux vivre », Presses du Châtelet) : « En affirmant qu’il est prématuré de traiter, qu’il faut attendre que plus d’expériences soient pratiquées et que le résultat de ces études soient confirmés, les médecins jouent la prudence et veulent éviter de donner de mauvais conseils au public. C’est tout à leur honneur ! Mais c’est oublier que le temps court et qu’une tranche de la population ne pourra pas profiter de ces études. Il a fallu plus de cinquante ans pour que le traitement de la ménopause par hormones féminines soit « pleinement » accepté par le corps médical. Résultat ? Soixante dix ans après les premiers traitements aux oestrogènes (à l’oestrone plus particulièrement), moins de 20 % des femmes européennes en bénéficient ! Ces médecins bien intentionnés n’ont pas toujours eu le temps de consulter les nombreuses études déjà effectuées sur la DHEA… depuis les années 40 ! »

LA DHEA, UNE FONTAINE DE JOUVENCE
LA DHEA, UNE FONTAINE DE JOUVENCE

Y a t-il des contre-indications à la prise de DHEA ?

La DHEA est déconseillée aux enfants et adolescents, aux femmes enceintes ou allaitantes, aux personnes souffrant d’une hypertrophie bénigne ou d’un cancer de la prostate, et aux femmes souffrant d’un cancer du sein ou des ovaires. Concernant le cancer, il est à noter toutefois que la DHEA n’est pas un facteur déclenchant de la maladie, mais peut être un facteur aggravant.

Quel est le rôle de la DHEA vis-à-vis du cancer de la prostate ?

Aucune étude ne permet d’estimer que la prise quotidienne de DHEA augmenterait le risque de cancer de la prostate. Le taux de la PSA (Protat Specific Antigen), un marqueur de cancer de prostate dans le sang, n’est pas influencé par le taux de DHEA sulfate ni par celui de ses métabolites, comme la testostérone. Peut-on, pour autant, prendre de la DHEA si l’on est atteint d’un cancer de la prostate ? En l’absence d’études vraiment complètes, la prudence reste aujourd’hui de mise. La prise de DHEA devra être soigneusement monitorée en fonction de l’évolution du taux de PSA.

La DHEA fait-elle grossir ?

La prise de DHEA ou d’autres traitements hormonaux ne font pas grossir, bien au contraire ! Ces traitements permettent de réduire les tissus adipeux et de raffermir les muscles.

Le traitement à la DHEA peut-il provoquer de l’acné ?

Une apparition d’acnée, des cheveux plus gras doivent inciter à diminuer la dose, non à arrêter le traitement. Toutefois, « La corrélation entre la sévérité de l’acné et le taux de la DHEA sulfate ou d’un autre androgène est le plus souvent faible, si bien que d’autres causes (alimentaires surtout), en association avec un taux d’androgènes élevés, doivent être cherchées avant tout. Une diététique soucieuse d’éviter les produits laitiers (même le yaourt ; prenez plutôt des comprimés de calcium pour le calcium) et les sucreries (surtout le chocolat) permet généralement d’éviter l’acné chez un sujet suivant un traitement à la DHEA. » (Dr Hertogue & Nabet : « DHEA, l’hormone du mieux vivre », p 94-95).

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Comment agit la DHEA ?

Elle agit à plusieurs niveaux et aiderait à neutraliser certains problèmes dûs au vieillissement.

Sur les os : lutte contre l’ostéoporose en améliorant la densité minérale osseuse chez les femmes en particulier.
Sur la peau : augmentation sensible de la production de sébum, ce qui a pour effet une meilleure hydratation de la peau, ainsi qu’une diminution des taches.
Sur le système immunitaire : améliore la réponse immunitaire et optimise l’effet des vaccins (notamment celui contre la grippe).
Sur le cerveau : stimule le fonctionnement neurologique et améliore la mémorisation, protège de la dégénérescence des cellules du cerveau. La DHEA agirait sur le stress.
La DHEA, le coeur et les artères

Au niveau du coeur, la DHEA peut aider à dilater les artères coronaires après sa conversion en oestradiol ou en testostérone, deux hormones vasodilatatrices. Cette dilatation augmente l’apport de sang frais au coeur et donc son oxygénation. Concernant les vaisseaux, la DHEA diminue l’agrégation des plaquettes sanguines et l’accolement aux parois des vaisseaux, diminuant ainsi les risques de formation de caillots.

La DHEA s’oppose aussi à l’athérosclérose, en diminuant l’épaississement de la couche interne des artères carotidiennes du cou par l’intermédiaire des oestrogènes qu’elle métabolise. Enfin, elle neutralise une partie des antioxydants générés lors des réactions métaboliques, limitant ainsi l’oxydation qui fait vieillir plus vite le coeur et les vaisseaux.

La DHEA agit-elle contre l’excès de cholestérol ?

Plusieurs études ont montré qu’un taux élevé en DHEA sulfate dans le sang s’accompagne d’un taux élevé de HDL cholestérol (le bon cholestérol) et d’un taux bas de LDL cholestérol (le mauvais cholestérol), de cholestérol total et de triglycérides, ceci chez les hommes surtout.

La DHEA peut-elle aider à mincir ?

La plupart des études suggèrent qu’un faible taux de DHEA favorise le développement de l’obésité. La DHEA agit par plusieurs mécanismes pour limiter la prise de poids et de graisse : elle élève le taux de plusieurs neurotransmetteurs qui réduisent la sensation d’apétit et l’attirance pour les graisses ; elle peut dévier le métabolisme vers les muscles aux dépens des graisses (par la production d’hormones mâles et de somatomédine C) ; elle peut enfin réduire le nombre de cellules adipeuses, en empêchant la formation de nouvelles graisses et en stimulant la combustion des graisses anciennes.

La DHEA aide- t-elle à lutter contre le diabète ?

Concernant le diabète de type 2, qui survient surtout avec l’âge, la DHEA peut empêcher une sécrétion excessive d’insuline, tout en protégeant les cellules du pancréas de divers éléments toxiques. De plus, en accroissant la masse maigre des tissus, et donc le nombre de cellules-cible du glucose, la DHEA favorise l’absorption du sucre et la diminution du taux de ce dernier dans le sang. Cet effet antidiabète a été démontré pour des cellules-cible aussi diverses que les globules rouges, les cellules immunitaires, les fibres musculaires, les cellules graisseuses et celles du foie. Enfin, la DHEA peut protéger des dégats causés par l’excès de sucre les cellules-cibles de la rétine de l’oeil, du cerveau, du foie et des reins.

La DHEA agit-elle contre les rhumatismes ?

La DHEA agit contre les rhumatismes à deux niveaux. Elle stimule le processus de réparation et le développement de l’articulation, ainsi que des tendons et des muscles, dont l’état décline chez le patient rhumatismal. Elle a également un rôle anti-inflammatoire, du fait qu’elle renforce l’effet analgisant du cortisol tout en l’empêchant de cataboliser (consommer) trop de tissu. La plupart des patients souffrant de rhumatismes, surtout sous la forme inflammatoire, présentent des taux bas de DHEA sulfate dans le sang, et ce quel que soit l’âge.

DHEA-hormone-vieillissement-menopause-anti-age-jeunesse

La DHEA et la lutte contres les rides

L’apparition des rides et le vieillissement prématuré de la peau résultent en partie d’une déficience hormonale. Les traitements aux hormones  » lifting » les plus spectaculaires sont : l’hormone de croissance, les hormones sexuelles (testostérone et oestradiol), la DHEA et la Mélatonine. On peut aujourd’hui affirmer que les améliorations les plus spectaculaires en esthétique, viendront d’une hormonothérapie ajustée par des spécialistes. Les résultats après 4 à 6 mois de traitement font régresser les rides, sauf les lésions irrémédiables (cicatrices ou fibroses) qui se superposent aux rides. L’association de cosmétiques et de traitements oraux aux hormones donnera des résultats inespérés sur le visage.

Comment la DHEA agit-elle sur la peau ?

Les études montrent que la DHEA améliore l’état de la peau surtout chez les femmes, notamment celles qui présentaient la plus grande déficience de cette hormone. Il faut néanmoins compter 3 mois pour une amélioration visible.

Concernant l’apparence, la peau devient plus douce par l’augmentation de la production de sébum, plus souple grace à l’augmentation en lipides au niveau de l’épiderme, plus solide grace au renforcement des cellules de kératine, légèrement plus épaisse du fait de l’augmentation de production de composants du collagène, plus halée, enfin, par l’augmentation de la production de mélanine.

Les autres effets notables sont :

une meilleure vascularisation et une meilleure cicatrisation
une peau plus « sexuelle » du fait de l’augmentation très sensible de la production d’androstérone (cellules odoriférantes)
une meilleure résistance aux infections par l’augmentation du nombre des cellules immunitaires de la peau et la stimulation de leur activité
enfin, la DHEA protège potentiellement la peau contre le cancer en bloquant le glucos-6-phosphate déhydrogénase, une enzyme liée à certains processus cancéreux.
La chute des cheveux et les traitements hormonaux

La chute abondante de cheveux résulte d’une importante déficience de plusieurs hormones majeures. Le médecin vous prescrira des injections d’ACTH, d’hormones de croissance combinées à des pilules de DHEA, d’hormones thyroïdiennes, d’androgènes et d’oestrogènes : c’est la multihormonothérapie. Ce traitement hormonal est long mais produit de réels effets sur la repousse des cheveux.

Les effets de la DHEA sur la mémoire

Des dosages normaux de DHEA améliorent sensiblement la mémoire. Des expériences sur des sujets très déficients en mémoire et qui présentaient des taux très bas en DHEA ont pu le prouver.

La dhea peut-elle aider une personne atteinte de sclérose en plaques ?

La prise de DHEA, au vu des études actuelles, ne permet pas de faire régresser les séquelles neurologiques de la sclérose en plaques. Il a été néanmoins remarqué que les personnes ayant cette maladie présentent un taux de DHEA bien inférieur à la moyenne. De fait, la supplémentation en DHEA permet à celles-ci de se sentir en meilleur forme, moins fatiguées et plus aptes à faire face au stress. La DHEA permet aussi, apparemment, de retrouver une certaine force dans les membres, surtout les jambes.

La DHEA permet-elle de combattre le virus du sida ?

Le virus du sida (HIV) se multiplie dans les cellules immunitaires du corps afin de les détruire. Il s’avère que la DHEA limite la prolifération du virus dans ces cellules. Malheureusement, plus le virus progresse chez une personne atteinte, plus le taux de DHEA dans le sang diminue. Une supplémentation en DHEA est donc conseillée, mais ne peut être considérée comme une thérapie. En laboratoire, la DHEA et un dérivé de synthèse, l’imunor 28, inhibent la prolifération du virus du sida. En outre, la DHEA freine la prolifération aussi bien des virus sensibles aux médicaments anti-sida que de ceux qui leur sont devenu résistants.

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DHEA, hormone anti-vieillissement. Qu’est ce que la DHEA ?

La DHEA, ou déhydroépiandrostérone, est une hormone naturelle produite par les glandes surrénales à partir du cholestérol. Elle est un précurseur de la synthèse d’hormones comme la testostérone, les œstrogènes, la progestérone. Le pic de sécrétion maximal intervient aux alentours de 21 ans, avec une chute de production de 90 % à 75 ans.

Comment reconnaît-on une déficience en DHEA ?

L’expression du visage, en premier lieu, permet de dépister facilement une carence en hormones : le visage gonfle, les paupières s’alourdissent, les cheveux deviennent secs et cassants. Ces effets sont souvent accompagnés, chez les femmes, d’apparition de cellulite sur les cuisses, un ventre en bedaine ainsi qu’un manque de poils sur le pubis et un mont de Vénus aplati. L’anxiété se manifeste régulièrement, l’humeur devient souvent triste, un manque de libido et de désir sexuel apparaît chez la femme, avec une fatigue continue et inexpliquée.

Quand peut-on prendre de la DHEA ?

La DHEA s’adresse aux personnes âgées et aux personnes fatiguées, souffrant de maladies dûes à la faiblesse de leur système immunitaire. On peut toutefois commencer à prendre de la DHEA aux alentours de 40 ans. A partir de cet âge, en effet, le niveau n’est plus qu’à la moitié de son niveau optimal. Sans compter que le stress, une carence alimentaire grave, l’abus de sucreries ou d’alcools, le tabagisme, la toxicomanie et tout ce qui induit un stress exagéré sur le corps déclenchent un processus de vieillissement prématuré.

Quels sont les bons taux de DHEA dans le sang et les urines ?

Ce qu’il faut mesurer n’est pas la DHEA elle-même mais le sulfate de DHEA (SDHEA). Dans le sang : un taux inférieur à 200 mcg/dl et 150 mcg/dl chez les femmes suggèrent une carence. Une valeur en dessous de 120 mcg/dl chez un homme de plus de 50 ans augmente, selon une étude, de 2 à 3 fois le risque de maladie cardio-vasculaire et la mortalité. Dans les urines des 24 heures : un taux en dessous de 0,10 ng par 24 H chez la femme et 0,50 ng chez l’homme est suspect de carence.

Combien faut-il prendre de DHEA ?

Les doses généralement conseillées sont de 25 mg à 50 mg de DHEA par jour pour les femmes et de 50 mg à 75 mg pour les hommes. Les spécialistes recommandent dans un premier temps des prises de 25 mg par jour et ensuite de faire vérifier le taux de DHEA dans le sang au bout de deux à trois semaines de traitement pour adapter la prise au mieux. Il est également recommandé pour les hommes de faire contrôler le taux de PSA, qui est le marqueur des troubles de la prostate.

Faut-il consulter un médecin pour pouvoir prendre de la DHEA ?

Bien que l’aval d’un médecin pour une hormonothérapie dûment validée ne devrait pas même faire question, la majorité d’entre eux, pourtant, semble encore s’y refuser. Formés à détecter les maladies et non pas à promouvoir la santé, l’ensemble des praticiens travaillent en effet dans le cadre d’une médecine curative et non pas une médecine de prévention. Or l’utilité d’une supplémentation hormonale, d’un strict point de vue curatif, ne peut apparaître qu’en cas de symptômes de déficience très nets. Il faut cependant bien comprendre que ce n’est pas l’aval du médecin qui est nécessaire mais son suivi. Dès lors que l’on respecte dosages et contre indications éventuelles, une supplémentation peut être débutée. Il faudra néanmoins consulter régulièrement son médecin (généraliste, gynécologue ou spécialiste) pour détecter toute anomalie, due à la supplémentation hormonale ou pas. Autrement dit, chacun peut commencer à utiliser les hormones de son choix sans avoir forcément à en demander l’autorisation (mais en ayant à faire à des prestataires sérieux et en respectant toujours les doses prescrites et les contre-indications), tout en devant du même coup se faire suivre régulièrement au plan médical.

La DHEA un anti-âge naturel puissant
La DHEA un anti-âge naturel puissant

La DHEA et les hormones que l’on achète sont-elles des substances naturelles ?

La DHEA et les autres hormones sont produites par nos propres glandes, elles ne sont donc pas des médicaments. De ce fait, les hormones ne présentent pas de contre-indications, contrairement aux médicaments de synthèse. Leur production industrielle consiste simplement à reproduire en laboratoire l’exacte structure de leurs molécules. Ces procédés sont maintenant largement au point.

Que faut-il penser des autres formes de DHEA ?

La DHEA (déhydroépiandrostérone) n’a qu’une seule forme. Les produits vendus comme DHEA « naturelle » ou comme « précurseurs » de la DHEA sont une pure et simple tromperie (voir la question « Comment fabrique t-on la DHEA ? »). On trouve également sur le marché des métabolites de la DHEA, fabriqués normalement par l’organisme à partir de la DHEA elle-même. Faute d’études cliniques suffisantes sur l’utilisation directe de ce type de produits, le jugement sur leur efficacité et leur innocuité reste réservé.

Comment « fabrique t-on » les hormones ?

Deux procédés de fabrication existent, l’un dit par  » hémi-synthèse « , qui est le plus utilisé, l’autre par synthèse totale. La méthode par hémi-synthèse consiste à extraire à partir d’une source végétale, la dioscorea villosa ou encore yam (plante de la famille des ignames ou « patate douce « ), de la diosgénine, molécule de la famille des sapogénines stéroïdes. Cette molécule pourrait également être extraite d’autres sources végétales, mais le yam en est le plus richement doté. La diosgénine constitue donc la matière première de la DHEA. Elle subit ensuite certaines transformations enzymatiques pour devenir la véritable molécule de DHEA.

Il est important de savoir que les enzymes capables d’effectuer cette transformation de la diosgénine en DHEA ne sont pas synthétisées par le corps humain. Une ingestion de diosgénine  » naturelle  » (non modifiée) ne correspond donc absolument pas à une prise de DHEA. Il faut par conséquent se méfier des appellations « DHEA naturelle » ou « Précurseur de DHEA ». De tels produits n’auront absolument aucun effet sur votre organisme et sont une simple tromperie sur la marchandise. L’autre procédé consiste à fabriquer la molécule de DHEA en partant de l’acide acétique, molécule extrêmement simple. Ce procédé de synthèse totale, encore peu utilisé actuellement, permet de fabriquer de la DHEA sans avoir à importer des tonnes d’ignames.

Le débat est ouvert entre les tenants de l’une ou de l’autre méthode. La pureté de la DHEA produite par hémisynthèse est proche de 100 %. Chez ANA, elle est de 99,2 % exactement. Le procédé par synthèse pure permet d’obtenir une pureté à 100 %, mais, sans doute, avec le même écart d’efficacité qui peut exister entre de la vitamine C de synthèse et celle que l’on trouve dans la véritable orange.

Dois-je arrêter mon traitement hormonal de substitution (THS) pour prendre de la DHEA, ou puis-je associer les deux ?

L’association est parfaitement légitime, à condition de savoir précisement si vous êtes carencée en DHEA. La valeur optimale communément suggérée pour les femmes est de 250 à 300 mcg/dl (microgrammes/décilitre). La prise de DHEA ne peut pas remplacer le THS aux oestrogènes et à la progestérone lors de la ménopause. En cas d’association des deux traitements, en revanche, un surdosage en DHEA peut causer un déséquilibre. En effet, la DHEA augmente indirectement le taux d’oestradiol et des autres oestrogènes dans le corps. C’est la raison pour laquelle des femmes prenant trop de DHEA peuvent se plaindre de douleurs aux seins avant leurs règles. Il faut savoir également que l’oestradiol elle-même augmente le taux de DHEA et de DHEA sulfate.

Si donc vous suivez un traitement hormonal de substitution et souhaitez bénéficier des bienfaits propres à la DHEA, seule une analyse pourra vous permettre de savoir si vous êtes effectivement concernée.

Quels aliments améliorent le taux de DHEA ?

Les graisses saines bien entendu ! N’oubliez pas que les graisses sont indispensables à l’organisme et trop souvent décriées (exemple : les protéines animales comme les œufs, la volaille, le poisson ou la viande).

Peut-on associer la DHEA à d’autres hormones ou à d’autres actifs ?

Les hormones interagissant entre elles, l’efficacité de la DHEA peut donc être améliorée si son utilisation est accompagnée de celle d’autres hormones. Réciproquement, la DHEA renforcera le taux de testostérone, de mélatonine ou, par exemple d’hormone de croissance. La multithérapie est donc une bonne idée. Une analyse de tests sanguins, urinaires ou salivaires permettra d’ajuster les taux des autres hormones indispensables et de trouver un juste équilibre entre elles. Il est aussi recommandé d’associer la prise de DHEA à d’autres produits non hormonaux pour améliorer son efficacité. Ces produits sont les antioxydants tels que vitamine E, vitamine C, caroténoides, polyphenols (ex : thé vert), ainsi que d’autres actifs, comme le cartilage de requin, la glucosamine et la chondroïtine.

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la DHEA l’hormone anti-vieillissement

La DHEA constitue la base de nombreuses hormones synthétisées par l’organisme, et offre ainsi un soutien hormonal naturel pour vieillir en bonne santé.

BASES

La DHEA (DéHydroÉpiAndrostérone) est une des substances les plus importantes dans la médecine anti-vieillissement. En raison de ses nombreux effets sur le système immunitaire et sur le vieillissement du cerveau, elle est de plus en plus souvent utilisée lors d’une régression des capacités chez les personnes âgées. Il est prouvé que la DHEA déploie un effet d’harmonisation sur le psychisme, augmente la tolérance au stress, et peut également protéger contre la maladie d’Alzheimer.

Malheureusement, avec l’âge, le taux naturel de DHEA baisse nettement. Dès la 40e année de vie, les taux baissent à un tiers des taux mesurés chez les personnes de 30 ans. À 60 ans, les taux ont baissé à un neuvième. Or, la DHEA est une des hormones humaines au potentiel le plus varié.

On a constaté dans de nombreux essais que la DHEA pourrait constituer une protection efficace contre les problèmes cardio-vasculaires grâce à ses propriétés hypocholestérolémiantes et son influence favorable sur la coagulation du sang. En outre, d’autres études ont montré que la DHEA permet une amélioration notable de la mémoire et du système immunitaire, qu’elle réduit la graisse corporelle, soutient la production d’œstrogène et de testostérone, et augmente la libido. Il n’est donc pas surprenant que des scientifiques du monde entier considèrent cette hormone – jusqu’alors quelque peu négligée – avec un nouveau respect et un nouvel espoir.

EFFETS

La DHEA est une hormone stéroïde, synthétisée sur la base du cholestérol dans les glandes surrénales, le cerveau et la peau. Une grande partie de cette hormone est liée à certaines molécules protéiques d’autres hormones. La DHEA libre est une «hormone intermédiaire» fournissant les éléments de base pour la synthèse d’autres hormones et d’autres substances vitales, entre autres de la testostérone (hormone sexuelle mâle) et de l’œstrogène (hormone sexuelle féminine). Il apparaît que la DHEA, en tant que précurseur stéroïde, agit comme une sorte d’hormone tampon permettant de rétablir l’homéostase en collaboration avec de nombreuses autres hormones, enzymes et subs­tances vitales, dont elle fournit en partie elle-même les éléments de base.

DHEA le meilleur anti-âge naturel
DHEA le meilleur anti-âge naturel

À partir de la 40e année de vie, la production de DHEA par l’organisme baisse énormément. Chez la femme, il en résulte un arrêt progressif de la production d’œstrogène, débouchant sur la ménopause. Chez l’homme, il en va de même pour la production de testostérone. Une moindre production de testostérone est associée à une moindre production de DHEA. Ce faible taux de DHEA entraîne par la suite également un taux accru de cholestérol, avec tous les risques et conséquences correspondants. La moindre production de DHEA est accompagnée d’une réduction rapide de la résistance au stress.

En outre, la DHEA fait actuellement l’objet de plusieurs projets de recherche médicale parmi les plus intenses de ce siècle. Les scientifiques des plus illustres centres de recherche médicale aux États-Unis – Havard, Stanford, universités de Wisconsin, d’Utah et de Californie – étudient les propriétés et les effets possibles de la DHEA. Celle-ci semble de plus en plus faire preuve de puissants effets protecteurs contre le cancer. Un groupe de chercheurs sous la direction du Dr. Arthur Schwartz travaille à l’élaboration d’un médicament à base de DHEA, qui pourrait bien devenir la première substance commercialisée en tant que pilule contre le cancer. Les patients à la suite d’un infarctus du myocarde, les hommes souffrant de problèmes de la prostate et les femmes ménopausées présentent de très faibles taux de DHEA.

INDICATIONS

Âge: selon l’avis de chercheurs en gériatrie, une perturbation de l’équilibre entre cortisol et synthèse de DHEA est responsable de nombreux troubles dus au stress et à l’âge. Des études ont pu montrer que la DHEA permet un effet de bien-être global chez les personnes âgées. En outre, la prise de DHEA permet de mieux gérer le stress.

Système immunitaire: la DHEA agit directement sur les lymphocytes et stimule l’interleukine 2, une des protéines de communication les plus importantes de la régulation immunitaire. La DHEA soutient le système immunitaire et rend l’organisme plus résistant aux infections.

Des taux extrêmement faibles de DHEA ont été trouvés chez des patients souffrant d’artériosclérose, d’hypertension, de troubles au niveau de la mémoire et de la concentration, d’excès de poids, de troubles lipidiques, de syndrome de fatigue chronique, hypercholestérolémie, de maladie d’Alzheimer, et de sclérose en plaques. On a également constaté de faibles taux de DHEA lors de lupus érythémateux (une maladie auto-immunitaire), d’ostéoporose, de dépression et d’asthme.

Dans toutes ces maladies, le remplacement de DHEA permet d’atténuer les symptômes et d’améliorer la qualité de vie.

Cancer: la DHEA ne peut pas guérir le cancer et ne doit pas être prise à la place d’un traitement établi pour le cancer, car les études sur ses effets ne sont pas encore terminées. Cependant, plusieurs études montrent que la manifestation de cancers semble être en corrélation directe avec de faibles taux de DHEA. Dans des essais en laboratoire, on a pu inhiber avec succès la croissance de plusieurs types de cancer.

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YaM eT DHEA

Dioscorea Villosa ou Igname sauvage mexicain.

Le yam, aussi connu sous le nom d’igname sauvage, est une plante médicinale réputée sur le continent américain. Il y a plusieurs milliers d’années, les Aztèques l’utilisaient déjà pour traiter de nombreux maux. Aujourd’hui, il est reconnu que les parties souterraines du yam renferment de la diosgénine. Celle-ci est un précurseur d’hormones stéroïdiennes qui est employé comme phytomodulateur hormonal, notamment pour soulager les symptômes de la ménopause.

Carte d’identité 

 

Principe actif

La diosgénine est le principe actif de la plante: cet extrait est donc plus puissant que de la poudre simple . Il sagit d’une substance proche des hormones produites naturellement, et qui facilite la fabrication de progestérone par le foie

Les bienfaits de l’igname

Lipides sanguins : Une étude réalisée chez des femmes a démontré que la consommation quotidienne de près de 400 g d’igname, pendant 30 jours, diminuait le cholestérol sanguin total, mais n’avait pas d’effet sur le cholestérol LDL et HDL7. Les chercheurs confirment que les fibres, les stérols ou l’action combinée de ces composés de l’igname diminueraient l’absorption des gras dans l’intestin.
 …Tension artérielle : Une protéine extraite de l’igname a démontré in vitro un potentiel de réduction de la tension. Chez des rats hypertendus, la consommation d’igname, tant sous forme liquide qu’en poudre, diminuerait aussi la tension artérielle.
… Troubles cognitifs : Chez l’animal, l’ingestion d’igname aurait des effets bénéfiques sur les troubles cognitifs. Grâce à ses propriétés antioxydantes, l’igname agirait sur le cerveau des souris et améliorerait leurs habiletés reliées à l’apprentissage et à la mémoire.
… Diabète : Une étude menée chez des rats a démontré que la consommation de poudre d’igname durant le repas contribuait à un meilleur contrôle des concentrations de glucose et d’insuline.
… Protection du foie et des reins : Une étude a démontré qu’un extrait d’igname crue, ajouté à la ration de rongeurs, permettait de protéger le foie et les reins contre les dommages causés par de fortes doses d’acétaminophène ou d’alcool. Une autre étude a indiqué que la poudre d’igname, administrée à des rats, permettait de protéger le foie contre la fibrose hépatique (une maladie caractérisée par la formation de plaques fibreuses au foie, pouvant mener à la cirrhose ou à l’insuffisance hépatique). Toutefois, d’autres études ont montré que des extraits d’igname pouvaient induire une fibrose rénale ou hépatique chez l’animal.
… Symptômes de la ménopause : Traditionnellement, l’igname est utilisée pour traiter certains symptômes de la ménopause.
Permet d’éviter les traitements substitutifs par les hormones de synthèse qui ont la réputation justifiée de favoriser la survenue de cancer du sein.
Permet une meilleure conservation de la masse osseuse.
Aide à la prévention des troubles cardio-vasculaires dont la fréquence augmente à cette époque de la vie.

Yam … Chez l’homme
– Accroissement du tonus sexuel et de la force musculaire.
– Permettrait d’éviter certains cancers de la prostate, ceux-ci survenant à une époque de la vie où le taux de DHEA sanguin baisse sérieusement, fait d’autant plus étonnant que la propagande des opposants impose le cancer de la prostate comme contre-indication à la prescription de la DHEA !
Yam… Chez la femme
En période d’activité génitale :
– Lutte contre la dépression liée à des problèmes hormonaux.
– Combat les dérèglements hormonaux, les kystes ovariens, les kystes des seins.
– Régularise le cycle hormonal, combat le syndrome prémenstruel, et participe à combattre tous les troubles gynécologiques

Indications : Dérèglements hormonaux en période d’activité génitale. Ménopause. « Andropause. »

Attention : Préférer le Yam avant la cinquantaine, la DHEA ensuite, mais toujours après dosage sanguin du Sulfate de DHEA montrant un déficit hormonal, et après s’être assuré de la non existence d’une contrindication légale.
Avant la cinquantaine, les enzymes étant présents, le Yam est capable de réguler les besoins hormonaux masculins ou féminins, le Yam « fermenté » (DHEA) prenant le relais lors de l’andropause ou de la ménopause.

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